
Tout a basculé un 2 juin. Le protagoniste, quarantenaire, journaliste raté, se « confiant » à la première personne, découvre avec effroi que tous les autres habitants humains de la planète se sont littéralement évaporés. La nuit entre le 1er et le 2 juin, à minuit pile, ils ont tous été happés, quelque part, ailleurs. Enfin, tous sauf un. Lui. Quel mérite, ou quelle faute, lui vaut ce privilège ? Ce questionnement, ainsi que plein d’autres qui...